Ceci est un billet que j’avais rédigé pour le concours de Sensation Mode:
« Le retour du pionnier.
À la dernière Semaine de la mode de Montréal, Philippe Dubuc présentait au public sa tant attendue collection automne / hiver 2009. Trois ans après sa faillite, le styliste est de retour sur la scène publique. La foule s’impatientait et toutes les intelligentsias de la mode étaient présentes pour cet événement. Ainsi, Sensation Mode décidait que c’est Dubuc qui lançait cette 16e semaine de la mode.
Le Vj et le Dj réchauffaient la salle. Le compte à rebours commençait. Dans 3… 2… 1… les mannequins défilaient sur podium. Philippe Dubuc présentait cet automne une collection en toute sobriété. La coupe est chirurgicale, d’ici on reconnaît immédiatement la signature du créateur. L’automne 2009 serait d’une couleur foncée et noble qui accentue les détails créatifs. Un à un, les mannequins défilaient dans une ambiance visuelle et sonore parfaite. La musique « électroclash » de Fridig et le visuel numéral d’Orazio créaient une surprenante symbiose avec les vêtements.
Les spectateurs étaient conquis. L’ambiance survoltait par des applaudissements nourris. Il n’y a pas de doute, Philippe Dubuc est de retour.»
Ceci est un billet que j’avais rédigé pour le concours de Sensation Mode:
« Le retour du pionnier.
À la dernière Semaine de la mode de Montréal, Philippe Dubuc présentait au public sa tant attendue collection automne / hiver 2009. Trois ans après sa faillite, le styliste est de retour sur la scène publique. La foule s’impatientait et toutes les intelligentsias de la mode étaient présentes pour cet événement. Ainsi, Sensation Mode décidait que c’est Dubuc qui lançait cette 16e semaine de la mode.
Le Vj et le Dj réchauffaient la salle. Le compte à rebours commençait. Dans 3… 2… 1… les mannequins défilaient sur podium. Philippe Dubuc présentait cet automne une collection en toute sobriété. La coupe est chirurgicale, d’ici on reconnaît immédiatement la signature du créateur. L’automne 2009 serait d’une couleur foncée et noble qui accentue les détails créatifs. Un à un, les mannequins défilaient dans une ambiance visuelle et sonore parfaite. La musique « électroclash » de Fridig et le visuel numéral d’Orazio créaient une surprenante symbiose avec les vêtements.
Les spectateurs étaient conquis. L’ambiance survoltait par des applaudissements nourris. Il n’y a pas de doute, Philippe Dubuc est de retour.»